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Durée : 70´
Références des textes et des traductions :
Dominique FOURCADE, Rose-déclic, Paris, P.O.L, 1984.
RONSARD, Œuvres complètes, Paris, Gallimard, Pléiade, t. I.
Emily DICKINSON, n°598 et T. S. ELIOT, Quatre quatuors, v. 64-69, traduction Hadrien France-Lanord.
Jean BEAUFRET, « Hölderlin et Sophocle », in Friedrich Hölderlin, Remarques sur Œdipe. Remarques sur Antigone, trad. F. Fédier, Paris, UGE, coll. « 10/18 », 1965, p. 12-13.
Friedrich NIETZSCHE, « Le drame musical grec », trad. J.-L Backès, in Écrits posthumes 1870-1873, Paris, Gallimard, 1975, p. 21, 22-23, 27, 28.
Jacob BURCKHARDT, Histoire de la civilisation grecque, trad. F. Mugler, Lausanne, éd. de l’Aire, 2002, t. III, p. 266-267.
Traductions de Sophocle : les lettres entre parenthèses renvoient au nom du traducteur : D (Robert Davreu), G (Jean Grosjean), L (Jean Lauxerois), S (Jean-Paul Savignac).
Les Trachiniennes, trad. R. Davreu, Arles, Actes Sud, 2011.
Électre, trad. R. Davreu, Arles, Actes Sud, 2011.
Œdipe roi, trad. J.-P. Savignac, Paris, La Différence, coll. « Minos », 2006.
Œdipe tyran, trad. J. Lauxerois, Ivry-sur-Seine, éd. À Propos, 2001.
Philoctète, Œdipe à Colone, trad. J. Grosjean, in Tragiques grecs. Eschyle, Sophocle, Paris, Gallimard, Pléiade, 1967.
Antigone, trad. J. Lauxerois, Paris, Pocket, coll. « Agora », 2008.
Pour poursuivre le travail dans la lecture de Sophocle, le livre de Karl REINHARDT, Sophocle (trad. E. Martineau, éd. de Minuit) est incontournable.
De Reinhardt également, on peut lire aussi le texte « Hölderlin et Sophocle », dont Heidegger écrit à Hannah Arendt le 6 février 1951 : « une conférence de haute tenue ;
à mon avis Reinhardt a pour la première fois fourni une clef ouvrant ce qui nous demeurait obscur dans les Remarques de Hölderlin accompagnant sa traduction ».
La conférence est traduite en français par Pascal David dans la revue Po&sie, n°23, Paris, Belin, 1983.
En allemand, et malheureusement non traduit, le petit essai de Wolfgang SCHADEWALDT Sophokles und das Leid (Postdam, E. Steichnote, 1948)
est une remarquable introduction dans le tragique sophocléen.
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